Cette image complètement fictive répond à la question suivante : qu’est ce qui arrive si on s’inspire de Jeanne d’Arc, des Walkyries, du médieval-fantastique à mi-chemin entre Frazetta et Warhammer et qu’on mélange le tout avec le Québec ?
Et bien ça donne ce résultat, un heureux mélange de symboles, d’éléments un peu clichés et d’esprit épique au style Nouvelle-France. L’inspiration est aussi venue d’une photo de l‘équipe nationale du Québec lors du tournoi de la Bataille des nations, une compétition de combat médieval (avec des vrais armes, pas question de trucs en mousse).
Voici en vrac les symboles québécois qui se trouvent dans l’image :
Le lion, symbole héraldique de l’ancien ennemi Anglais. On peut supposer que ce gros ogre au style vaguement sauvage à reçu de l’équipement de ceux-ci.
Le lys doré sur fond bleu est le symbole de la France lorsque Cartier arrive ici.
»Je me souviens », notre devise, gravée sur l’épée. Le look gothico-script fut préféré au profit de la lisibilité.
Des plumes de harfang, notre animal national. Peut-être pour porter chance. Cela avait un peu plus de gueule que des queues de castors.
La feuille d’érable, symbole typique du Québec et autrefois des Canadiens-Français.
Encore une fois le harfang, cette fois en bannière, un peu à la manière des étendards romains. Il est est couronné de lauriers pour refléter sa gloire.
»Fais ce que dois », devise choisie par Henri Bourrassa, petit-fils de Louis-Joseph Papineau pour orner l’entête du journal Le Devoir.
Le fleurdelisé, avec quelques dorures inspirées du Carillon-Sacré-Coeur.
Une ceinture fléchée, symbole typique du Québec.
Un couteau porté dans le cou comme le faisait les Amérindiens (et par la suite les coureurs des bois). Efficace si le combat se rapproche trop.